Le capitalisme de la séduction
Une anthropologie de la modernité
quotidienne, une critique acide et acerbe de l’éternel réformisme,
conscient ou inconscient, respectueux ou contestataire, une intervention
de franc-tireur dans la guerre idéologique : autant de niveaux de
lecture du Capitalisme de la séduction. Sur les traces de Rousseau, dans
un style autant philosophique que littéraire, l’auteur part à l’assaut
de nouvelles idées recues. Il décortique les rituels d’initiation
gigognes de la « civilisation capitaliste » – jeans, flipper, rock,
disco, hasch, pilule … – et nous propose ainsi de reconquérir une
réalité occultée par les vedettes de
l’idéologie et du discours. Retournant comme un gant les formes
falsifiées de la subjectivité et de la connaissance, de l’éthique et de
l’esthétique, il en révéle les coutures faites au gros fil de la
stratégie de gestion de la crise : le réformisme libertaire.
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